Jour 6, Mino - Takayama

 Aujourd'hui j'ai quitté Kyoto pour Takayama.

Les enfants se rendant à l'école ou au collège. 

la rue qui monte vers le Kiyomizu-Dera, sans touriste, il est tôt.

Le Kiyomizu-dera avec son cimetière 

Sur la route on voit apparaître des rizières et ce qui ressemble à du blé... à moins que ce soit du riz mure... mais c'est bien tôt dans la saison...

Nous avons fait une halte à Mino au "Mino Washi no Sato Hall" où nous avons pu faire notre feuille de papier Washi, c'était très intéressant. 

les fibres qui servent à faire le papiers 

 La colle

Et nous avons continué notre route..

L'eau des rivières était très cristalline,  

Toujours dans le canton de Mino nous avons visité un quartier où certaines maisons ont 400 ans.  

Les hirondelles sont là et beaucoup moins farouches que chez nous

Certains murs sont en torchis 

Nous avons visité la maison d'un négociant en washi, pas fait avec les mêmes fibre de bois que précédemment, il avait bien réussi, c'est une maison que l'empereur Akihito avait visité.

Retour dans les rues de la ville, certaines maisons ont des protections incendie (signe de richesse), ce sont ces avancées au niveau du toit qui sépare les maison et empêche le feu de passer... en théorie.

Puis il a été l'heure de nous restaurer,  dans un restau de Sodai Kami (レストラン(道の駅 美濃にわか茶屋)) à Iwamoto. 

Le tour du Japon à vélo est passé par ici

Le repas était vraiment bon. 

A la sortie il y avait des bonsaïs. 

De là nous sommes arrivé à Takayama (grande montagne) pour visiter un musée de Mikoshi et de char à roues pour les défilés d'automne et de printemps en l'honneur du sanctuaire.

Le sanctuaire Sakurayamahachimangu Haiden

Dans les rues pour retourner au bus

De là nous nous sommes rendu dans le centre historique de Takayama, les commerces ferment à 17h !

Voilà à quoi ressemble de la viande rouge de qualité au Japon, le boucher me voyant regarder sa vitrine m'a fait signe de rentrer et m'a autoriser à photographier sa viande.

Donc plus c'est persillée plus c'est de la bonne qualité et donc plus c'est cher.

J'ai retrouvé le pont sur lequel se dressent deux statues originales. 

Le pont Kaji 

Le Koban du quartier avec sa mignonne petite voiture

En remontant chercher le bus, dans une des rues "préservées", je pense que c'est fabricant de pâte miso. En tout cas j'ai bien aimé les arômes qui s'échappaient de la boutique.

 

Je n'aurais jamais imaginé qu'un figuier puisse être "bonsaïfié"

Et voià la journée est finie.